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Et Pavane de Fauré me strie les oreilles créant çà et là des sillons indélébiles au sein desquels je me perds. Labyrinthe grotesque dont seul le viol d’Elise me sortira.
Journal obsolète d'un chroniqueur crédule
Et Pavane de Fauré me strie les oreilles créant çà et là des sillons indélébiles au sein desquels je me perds. Labyrinthe grotesque dont seul le viol d’Elise me sortira.